

La compagnie
La Ridzcompagnie a pour objectifs de développer ses projets autour du vocabulaire chorégraphique.
Elle se positionne en tant qu’acteur culturel aussi bien dans la recherche, l’écriture, la transmission, la création ayant pour même but de tendre vers un vocabulaire chorégraphique accessible à tous. Nous engageons et assumons une conception du spectacle vivant, qui vise à minimiser l’espace dynamique entre créateurs et spectateurs. Plus précisément réduire le questionnement du spectateur et favoriser l’interprétation du regard de chacun.
La compagnie se dévoile avec la création du Solo « Le jeu de l’œil » en 2012. Il aborde les métamorphoses de l’être. Virevolte dans sa quête d’identité, se muant parfois en une sorte de marionnette, donnant l’impression d’évoluer au fil des minutes.
Cite P. Verrièle «..Le Désir d’une composition qui porte le sujet plutôt que l’affichage de l’égo..».
dessinée, elle inverse les symboles du pouvoir (la « couronne » renversée, l’ « élévation » du danseur, une grammaire baroque déformée par des passages en dedans) dans une chorégraphie intelligente et rigoureuse faisant la part belle aux bras, avec de très jolis suspens, et de belles accélérations. » Agnès Izrine (Concours [Re]connaissance 2016.
AREA DIVERSION, scénographie urbaine en plusieurs actes, sera la création 2017. Un projet artistique de territoire avec l'Université de Toulon et les artistes Wiliiam Bruet et Caillou Michael Varlet pour 90 performeurs.
En 2019, " MIWA " création jeune public inspirée des thématiques du cinéaste d 'animations Hayao Miyazaki.
" Métaphore de l'existence et du monde en général, les images créées révèlent toute la fantasmagorie du monde de Miyazaki. Simonne Rizzo signe avec sa première pièce jeune public une oeuvre intemporelle, poétique et sensible." L.Bourbousson.
"La pièce vous tient à l'écoute, danse, costumes, lumières, projections génèrent une atmosphère intrigante, atypique et magique. Le monde de Miwa m'a fasciné" M. Barroso, El Pequeno Espectador (Madrid)
"Cela ressemble au début…Ou à la fin du monde. On se dit que les 2 doivent être étrangement proches. Un décor minéral, juste perlé de fines gouttes, dans lequel les créatures les plus diverses évoluent, sans que l’une ne domine l’autre. Il faudra apprendre à se laisser bercer, se laisser porter, par cet endroit sans enjeux auxquels nous ne sommes peut-être plus habitués." Valérie PALA, Var Matin.
En 2021, "VOLERO" création hommage à la culture gitane et une partie de l'histoire familiale de la chorégraphe...l'importance de savoir d'où l'on vient, afin de mieux comprendre qui l'on est et où nous allons.
« La Ridzcompagnie prend son envol, des instants poétiques autant surprenants, que fascinants. »
Soucieuse de créer du lien, elle collabore régulièrement avec différents compositeurs, artistes numériques,
plasticiens, et notamment dessinateur, costumière, vidéaste…
La transmission est au coeur de son projet artistique. Elle intervient et crée en milieu scolaire, en centre social,
auprès d’adultes et d’adolescents de tout horizon ainsi qu’en conservatoire.
Basée à Toulon, La RIDZcompagnie cherche à défendre l’accessibilité à l’art chorégraphique à travers la
création et la pratique de la danse. Lors de ses actions artistiques, elle propose de partager sa vision sensible,
une mise en mouvement des facultés de chacun

La création 2015 « Un Certain Rythme »est la 2nde pièce. Elle a été coproduite par Châteauvallon-scène nationale, soutenu par le Conseil départemental, accueilli par la Ballet National de Marseille, et la Ville de la Valette-du-var.
En 2016, Inspirée de la tragédie lyrique conçue par Lully, la pièce « LOUIS PI XIV »est réalisée. Un Projet chorégraphique pour 3 danseuses et 2 musiciens.Un nouvel objet chorégraphique à la recherche de la sacralité de l'homme et non de sa fonction.
« Par contre, nous donnerons une mention spéciale à Simonne Rizzo et son Louis PI/XIV. Une très intelligente relecture de la danse baroque qui n’hésite pas à emprunter à Cunningham certain de ses traits.
Les costumes stylisés sont bien trouvés, tout comme la musique du XVIIe siècle éclatée entre deux consoles tenues par deux musiciens. Son propos est de transposer le pouvoir absolu de Louis XIV et la danse qu’il a codifiée pour partir à la recherche de la sacralité de l’homme et non de sa fonction. Habilement, avec une gestuelle très
